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À Montréal, le salaire horaire requis pour un logement devient un obstacle majeur : 33 $/h pour un simple 3 ½

18 octobre 2025
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À Montréal, le salaire horaire requis pour un logement devient un obstacle majeur : 33 $/h pour un simple 3 ½
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Une réalité alarmante révélée par une étude sur le coût du logement

Selon une récente étude réalisée par Zoocasa, les travailleurs montréalais doivent désormais toucher un salaire horaire de plus de 33 $ pour espérer louer un appartement d’une chambre sans consacrer plus de 32% de leur revenu à leur loyer. Cette règle, conçue pour laisser de la marge aux autres postes de dépenses essentiels, met en lumière une crise croissante d’accessibilité.

​

L’écart entre salaire minimum et coût du logement

Malgré l’augmentation du salaire minimum québécois à 16,10 $/h depuis mai 2025, un travailleur à plein temps ne gagnera qu’environ 31 395 $ par an. Pourtant, le loyer moyen d’un 3 ½ à Montréal se situe entre 1 548 $ et 1 729 $ par mois, représentant une dépense annuelle supérieure à 20 700 $. Pour respecter le standard d’abordabilité, il faudrait que ce même travailleur ne paie « que » 830 $ de loyer par mois. Or, même les logements les moins chers frôlent le double de ce montant.​

Une croissance des loyers qui surpasse l’évolution des salaires

Les loyers dans la métropole ont bondi de plus de 7% cette année selon la SCHL, et jusqu’à 11% l’an dernier. Cette hausse fulgurante, combinée à un taux d’inoccupation très bas (1%), enferme les locataires dans une spirale où un emploi à temps plein ne rime plus avec logement accessible.​

L’impact des quartiers et du type de logement

La moyenne régionale masque de fortes disparités : les arrondissements centraux comme le Plateau-Mont-Royal ou Verdun affichent des loyers pour un 3 ½ dépassant souvent les 1 700 $ – 1 800 $ mensuels. Les quartiers périphériques comme Ahuntsic ou Hochelaga-Maisonneuve offrent des prix un peu plus abordables, mais toujours largement au-dessus de la norme d’abordabilité.​

La demande croissante et la rareté des unités abordables

Le marché montre peu de nouvelles unités abordables. Beaucoup de locataires se retrouvent contraints d’accepter des logements plus chers ou de partager des appartements pour réduire les coûts. Le phénomène touche particulièrement les familles, étudiants et nouveaux arrivants.​

Conclusion : vers une crise d’accessibilité du logement

Face à cette réalité, la question d’ajuster le salaire minimum au coût réel du logement se pose avec plus d’acuité. Les experts s’accordent à dire que seule une refonte du lien entre salaires et prix des loyers permettra d’éviter que la métropole ne devienne inaccessible à une grande partie de sa population active.

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