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Francis Pilon, nominé pour le titre du « journaliste » le plus détesté de Montréal

7 octobre 2025
in Québec Panorama
Reading Time: 5 mins read
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Francis Pilon, nominé pour le titre du « journaliste » le plus détesté de Montréal
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Enquête sur les méthodes plus que limites d’un chroniqueur antipathique qui fait du Journal de Montréal son terrain de jeu… et de chasse


La nomination dont personne ne veut être fier

Si un concours du chroniqueur le plus exécré de Montréal existait, Francis Pilon pourrait littéralement monter sur le podium les yeux fermés. Son talent pour énerver, diviser et provoquer est presque… admirables. Si on oublie les principes de base du journalisme, évidemment.

Le palmarès qui impressionne (pour toutes les mauvaises raisons)

Quand on parle de contentieux judiciaires, Francis Pilon collectionne les « réussites » comme d’autres collectionnent les timbres :

  • La menace Maripier Morin : Parce qu’accuser une personnalité publique de « mentir », c’est du journalisme d’investigation, apparemment
  • Le clash Ricardo : Parce qu’attaquer un chef sympa qui fait de la bonne bouffe, c’est clairement ce dont Montréal avait besoin
  • Et la liste continue : Rayan Hasham, Nadia Cioce etc… On dirait presque qu’il y a une stratégie derrière tout ça… mais chut, il ne faut pas le dire


La méthode Pilon : comment devenir célèbre sans être aimé

Sa technique est simple, efficace, et tellement transparente :

  1. Choisir une cible populaire (de préférence qui ne peut pas trop se défendre)
  2. Lancer une accusation bien punchy (les preuves ? On verra plus tard)
  3. Attendre que ça explose sur les réseaux sociaux
  4. Jouer la victime quand on ose le critiquer

Bravo l’artiste ! 👏

L’immigration : son fonds de commerce préféré

Quand Francis Pilon manque d’inspiration, il sait qu’il peut toujours compter sur ses cibles fétiches :

  • Les « islamo-gauchistes » : Ce terme magique qui veut tout et rien dire à la fois
  • Le « wokisme » : Son ennemi juré personnel, qu’il combat depuis son confortable fauteuil de chroniqueur
  • La « bien-pensance » : Parce que visiblement, penser aux autres c’est suspect

C’est presque touchant de constance. Chaque semaine, le même discours, les mêmes angoisses, les mêmes… oublis journalistiques.

🤡 Le Journal de Montréal : complice ou spectateur ?

Pourquoi le Journal de Montréal garde-t-il (un) chroniqueur aussi… problématique ? La réponse se trouve sans doute dans l’ère numérique où l’audience se transforme en une véritable monnaie d’échange. Le buzz, les clics, les commentaires enragés et les partages outrés sont aujourd’hui au cœur de la stratégie médiatique, et ce chroniqueur, loin de passer inaperçu, génère exactement ce type de réactions. Peu importe si on le déteste, car, au final, l’important est qu’il soit constamment au centre des discussions, et par conséquent, le journal récolte les bénéfices d’une attention garantie. On pourrait même dire que sa capacité à provoquer la colère ou l’indignation est un atout dans un monde où la virulence des échanges virtuels devient un moteur d’audience. Et pourtant, ce n’est pas qu’une question de chiffres : cette ligne éditoriale qui permet au Journal de Montréal de cultiver la controverse et la provocation s’inscrit parfaitement dans son orientation actuelle. Le sensationnalisme semble être devenu un choix stratégique assumé pour capter l’attention, quitte à sacrifier la responsabilité journalistique sur l’autel du profit. Ce n’est pas un hasard si ce chroniqueur qui fait régulièrement parler de lui s’intègre parfaitement dans cette dynamique. Mais la question de fond reste la même : les responsables du journal ne peuvent pas dire qu’ils ne savaient pas. Les preuves sont là, noires sur blancs, dans les tribunaux, et ces éléments font douter sur la réelle volonté de réguler ce type de contenu. En effet, il ne s’agit plus d’un simple débat sur la liberté d’expression ou les opinions tranchées : c’est une question de responsabilité, car le Journal de Montréal n’ignore pas les conséquences de ses choix. Leur décision de maintenir ce chroniqueur controversé n’est donc pas le fruit du hasard, mais un choix calculé, à la recherche de profits à court terme, au détriment d’une éthique plus nuancée et réfléchie.

Le bilan d’un « journalisme » qui fait du mal

Francis Pilon n’est pas qu’un simple chroniqueur polémique. C’est le symptôme d’une dérive médiatique plus grave :

  • Il salit des réputations pour faire du chiffre
  • Il alimente les divisions pour exister
  • Il trahit la confiance du public à chaque chronique

Montréal mérite mieux que ce cirque médiatique. Elle mérite des journalistes qui informent, pas qui insultent. Qui rassemblent, pas qui divisent.

En attendant, Francis Pilon peut être fier : il est en bonne voie pour remporter le titre tant convoité de chroniqueur le plus exécré de l’année 🏆


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Tags: JDMPilonPseudo JournalisteQuebecorTorchon
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